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04

Programme cinéma

Carte blanche à John Deneuve

cinéma
Mar. 04 sept. 2018 à 20h30, Vidéodrome 2
Mer. 05 sept. 2018 à 20h30, Vidéodrome 2
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cinéma
07

Hijab

Ahmed Umar

exposition
Ven. 07 sept. 2018 à 17h, Klap, Maison pour la danse
Sam. 08 sept. 2018 à 17h, Klap, Maison pour la danse
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exposition
07

Nightclubbing

Rachael Young

performance
Ven. 07 sept. 2018 à 19h, Klap, Maison pour la danse
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performance
07

Traumboy

Daniel Hellmann

performance
Ven. 07 sept. 2018 à 21h, Klap, Maison pour la danse
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performance
07

Sama' Abdulhadi

DJ set • techno

musique/son
Ven. 07 sept. 2018 à 23h, Klap, Maison pour la danse
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musique/son
08

Atelier fanzine DIY

Animé par le Collectif Nicole Crême x Mémoire des sexualités

atelier/ workshop
Sam. 08 sept. 2018 à 17h, Klap, Maison pour la danse
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atelier/ workshop
08

If you no longer have a family, make your own in clay!

Ahmed Umar

performance
Sam. 08 sept. 2018 à 19h, Klap, Maison pour la danse
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performance
08

I'm a bruja

Annabel Guérédrat - Cie Artincidence

performance
Sam. 08 sept. 2018 à 20h, Klap, Maison pour la danse
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performance
12

The Black Star Chronicles

Kapwani Kiwanga

performance
Mer. 12 sept. 2018 à 20h, Montévidéo, centre d'art
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performance
12

The Man inside Corrine

DJ set • strange & joyful electronic

musique/son
Mer. 12 sept. 2018 à 23h, Montévidéo, centre d'art
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musique/son
cinéma

Sur une proposition du Collectif IDEM, pour sa 3ème édition, le Festival TRANSFORM!, en partenariat avec Art-Cade Galerie Bains Douches, laissent CARTE BLANCHE à John Deneuve artiste pour une sélection cinéma érotico-pornographique inédite à Marseille :

4 Septembre – 20h30

“Puce Moment” – Kenneth Anger – 1949, USA, 6 min, VOSTFR.

“Puce Moment” est un court-métrage de Kenneth Anger tiré d’un projet inachevé appelé “Puce Women”. Ce long-métrage devait mettre en scène des actrices du Hollywood des années 1920 déambulant à plusieurs moments de la journée dans une atmosphère nostalgique. Seules ont été tournées ces hypnotiques six minutes durant lesquelles l’actrice Yvonne Marquis choisit sa robe et se prépare avant d’aller promener ses chiens.

“Pink Narcissus” – James Bidgood – 1971, USA, 1h11, VOSTFR

La banquette”Pink Narcissus” est un film américain de 1971 réalisé par James Bidgood, visualisant les fantaisies érotiques d’un jeune homme gay. Entre les visites de ses clients, un jeune prostitué magnifique (Bobby Kendall), seul dans son appartement, se masturbe en fantasmant sur un monde dont il est le personnage central. Il se voit par exemple comme un matador, un esclave de la Rome antique mais aussi Narcisse, le personnage mythologique si beau, qu’en voyant son reflet dans l’eau, il tombe amoureux de lui-même.

5 Septembre – 20h30

“Multiple Orgasm” – Barbara Hammer – 1976, USA, 6 min, sonore

Des doigts, un vagin… 6 minutes de plaisir !

“Bijou” – Wakefield Poole – 1972, USA, 1h17, VOSTFR

Dans la rue, un ouvrier en bâtiment est témoin d’un accident. Il subtilise le sac de la femme accidentée, et une fois chez lui, en examine le contenu. Il y trouve un ticket d’invitation au club Bijou. Sur place, il découvre un monde onirique où les fantasmes érotiques deviennent réalité. Des panneaux lui demandent d’enlever ses chaussures, puis ses vêtements. Dans un paysage irréel, il rencontre un autre homme nu, avec qui il fait l’amour. D’autres hommes entrent alors et…

Programmation réservée aux personne de + de 18 ans !

La programmation de John Deneuve vient en parallèle de son exposition “Bad girls go to hell” à Art-cade Galerie des grands bains douches (31 Août – 6 Octobre).
Elle fera écho aux différentes notions abordées dans ses compositions et ses pièces.
A la frontière de différents genres et catégories esthétiques, le travail de John Deneuve artiste explore le code des genres pour questionner les pièges de la pensée unique.

Le site de John Deneuve

L'ÉDITO de cette 3ème édition du festival :

" Le festival TRANSFORM! – festival des créations queer contemporaines – revient pour sa 3ème édition avec un esprit toujours plus festif, contemporain, nomade et militant. Après la Villa Alliv en novembre 2015, la Déviation en avril 2017, rendez-vous du 4 au 12 septembre dans 3 lieux de Marseille : Vidéodrome2, KLAP Maison pour la danse, Montevideo centre d’art. Cette année encore la programmation de TRANSFORM! dit le dynamisme, les combats, les luttes et les engagements sociétaux du collectif IDEM en montrant la vitalité des cultures minorisées et invisibilisées face aux discriminations raciales, culturelles, de genres et d’orientation sexuelles, dont elles sont victimes.

Être pédé, gouine, trans, intersexe, c’est être dans la minorité estimée à plus de 10% de la population.
Être racisé.e c’est être dans la minorité estimée à plus de 30% de la population.
Être femme
c’est être dans la majorité qu’on minorise.

Penser une programmation de création queer contemporaine avec ces éléments comme socle de réflexion, c’est penser TRANSFORM! en termes de déconstruction et de décolonisation. Déconstruction de nos structures de pensées, en les questionnant sur leurs fondements misogynes, LGBTphobes, coloniaux et esclavagistes. Décolonialisation des corps, des genres, des mémoires, des imaginaires, des arts et de la culture, en repensant nos rapports au pouvoir et aux privilèges qu’ils donnent afin de combattre toutes les formes de domination et d’invisibilisation. Ainsi, cette année encore, TRANSFORM! montre la pluralité de ce qui nous fait, de ce qui nous constitue : nos sexualités, nos corps, nos désirs, nos identités plurielles, nos cultures multiples.
Bon festival à toutes et à tous,

Le collectif IDEM "

exposition
arts visuels

Installation

“The Hijab collection” est une série d’amulettes inspirée par une pratique soufie de protection annuelle.

“Hijab”, qui vient du verbe protéger, couvrir ou cacher, est dans le contexte populaire appliqué à tous les objets qui portent chance et protection contre le mauvais sort.

Ce projet d’Ahmed Umar est une déclaration de résistance à toutes les formes de dénigrement culturel et social, tout en valorisant son héritage familial avec fierté et respect.

Ahmed Umar est soudanais·e, iel réside en Norvège depuis 2008. Artiste pluridisciplinaire iel vit et exerce à Oslo.

Diplômé·e des Beaux Arts d’Oslo en 2016, son art est largement influencé par son background culturel d’une société structurée autour de la religion et du strict respect des traditions.

Iel utilise différents médiums : sculptures, joaillerie, performance et peinture. Iel a exposé dans différents musées et galeries internationales (FORMAT, Kunstnerforbundet, Kunstnernes Hus, Museum of Cultural History Oslo, ArtFair Soumi, Finland and Kunsthall Oslo). En 2017, son installation HIJAB (protection annuelle) remporte le prix de la jeune création norvégienne. Umar est également engagé dans les luttes de prévention du HIV (PrEP) en Norvège.

L'ÉDITO de cette 3ème édition du festival :

" Le festival TRANSFORM! – festival des créations queer contemporaines – revient pour sa 3ème édition avec un esprit toujours plus festif, contemporain, nomade et militant. Après la Villa Alliv en novembre 2015, la Déviation en avril 2017, rendez-vous du 4 au 12 septembre dans 3 lieux de Marseille : Vidéodrome2, KLAP Maison pour la danse, Montevideo centre d’art. Cette année encore la programmation de TRANSFORM! dit le dynamisme, les combats, les luttes et les engagements sociétaux du collectif IDEM en montrant la vitalité des cultures minorisées et invisibilisées face aux discriminations raciales, culturelles, de genres et d’orientation sexuelles, dont elles sont victimes.

Être pédé, gouine, trans, intersexe, c’est être dans la minorité estimée à plus de 10% de la population.
Être racisé.e c’est être dans la minorité estimée à plus de 30% de la population.
Être femme
c’est être dans la majorité qu’on minorise.

Penser une programmation de création queer contemporaine avec ces éléments comme socle de réflexion, c’est penser TRANSFORM! en termes de déconstruction et de décolonisation. Déconstruction de nos structures de pensées, en les questionnant sur leurs fondements misogynes, LGBTphobes, coloniaux et esclavagistes. Décolonialisation des corps, des genres, des mémoires, des imaginaires, des arts et de la culture, en repensant nos rapports au pouvoir et aux privilèges qu’ils donnent afin de combattre toutes les formes de domination et d’invisibilisation. Ainsi, cette année encore, TRANSFORM! montre la pluralité de ce qui nous fait, de ce qui nous constitue : nos sexualités, nos corps, nos désirs, nos identités plurielles, nos cultures multiples.
Bon festival à toutes et à tous,

Le collectif IDEM "

performance
musique/son

Pour sa dernière création, Rachaele Young s'empare de deux événements :

  • 1981, année de sortie de l'album "Nightclubbing" de Grace Jones
  • 2015, 3 jeunes femmes noires se voient interdire l'entrée d'un club à Londres parce qu'elles sont noires.
    Rachael Young et son badass band se saisissent de l'afrofuturisme pour mettre en parallèle ces deux événements et nous proposent un spectacle de musique live, une vision intergalactique, sans frein pour lancer la révolution.
    WOMEN TO THE FRONT, LGBTQI+ TO THE FRONT, PEOPLE OF COLOR TO THE FRONT!

Rachael Young est une jeune artiste anglaise qui travaille à la croisée du théâtre et de la musique dans des projets socialement engagés. Son travail est généralement le reflet d’expériences autobiographiques et d’un environnement sociopolitique qu’elle questionne, souvent en lien avec les communautés sous représentées dans le monde de la création contemporaine.
"Nightclubbing" a été créé avec le soutien d’Arts Council England, Camden People’s Theatre, The Lowry (‘Developed with’), Greenwich Dance & Trinity Laban Partnership (Compass Commission), Live Art UK, Diverse Actions, The Marlborough Theatre and Greenwich University.
Nous présentons Rachael Young pour la première fois en France
http://www.rachaelyoung.net/projects/nightclubbing/

Création : Rachael YOUNG
Conception sonore : Mwen RUKANDEMA et Leisha THOMAS
Costume : Naomi KUYCK-COHEN
Durée : 50 min

L'ÉDITO de cette 3ème édition du festival :

" Le festival TRANSFORM! – festival des créations queer contemporaines – revient pour sa 3ème édition avec un esprit toujours plus festif, contemporain, nomade et militant. Après la Villa Alliv en novembre 2015, la Déviation en avril 2017, rendez-vous du 4 au 12 septembre dans 3 lieux de Marseille : Vidéodrome2, KLAP Maison pour la danse, Montevideo centre d’art. Cette année encore la programmation de TRANSFORM! dit le dynamisme, les combats, les luttes et les engagements sociétaux du collectif IDEM en montrant la vitalité des cultures minorisées et invisibilisées face aux discriminations raciales, culturelles, de genres et d’orientation sexuelles, dont elles sont victimes.

Être pédé, gouine, trans, intersexe, c’est être dans la minorité estimée à plus de 10% de la population.
Être racisé.e c’est être dans la minorité estimée à plus de 30% de la population.
Être femme
c’est être dans la majorité qu’on minorise.

Penser une programmation de création queer contemporaine avec ces éléments comme socle de réflexion, c’est penser TRANSFORM! en termes de déconstruction et de décolonisation. Déconstruction de nos structures de pensées, en les questionnant sur leurs fondements misogynes, LGBTphobes, coloniaux et esclavagistes. Décolonialisation des corps, des genres, des mémoires, des imaginaires, des arts et de la culture, en repensant nos rapports au pouvoir et aux privilèges qu’ils donnent afin de combattre toutes les formes de domination et d’invisibilisation. Ainsi, cette année encore, TRANSFORM! montre la pluralité de ce qui nous fait, de ce qui nous constitue : nos sexualités, nos corps, nos désirs, nos identités plurielles, nos cultures multiples.
Bon festival à toutes et à tous,

Le collectif IDEM "

performance
danse
théâtre
musique/son

Daniel est chanteur, performeur, créateur de théâtre et de danse.
Daniel a étudié la philosophie, le chant lyrique et le théâtre.
Daniel a fondé la compagnie 3art3 en 2012 et Untold en 2014.
Daniel est un travailleur du sexe. Dans la performance Traumboy, il fait part de ses expériences sans honte, avec franchise et de manière interactive.
Traumboy interroge l’hypocrisie des normes de notre société capitaliste et hyper sexualisée.
L’accent mis sur la prostitution masculine permet d’échapper au discours habituel sur l’exploitation et la souffrance de femmes vulnérables, sondant ainsi les relations de pouvoir de manière plus subtile.
Le corps de l’artiste devient une surface de projection pour les peurs, les fantaisies, les contradictions de ses clients ou du public.
Est-ce que les limites de votre esprit sont là où vous les attendiez ?

Avec Traumboy, Daniel Hellmann nous amène à scruter nos idéaux sexuels et à remettre en question la conception que l’on se fait de nous-même en tant qu’être sexualisé.

Daniel Hellmann est un chanteur, performeur, créateur de danse et de théâtre de Zurich. Il a étudié la philosophie, le chant classique ainsi que le théâtre/la performance et développe depuis 2012 ses propres travaux artistiques, qui ont été récompensés à plusieurs reprises. Hellmann conçoit sa pratique artistique comme une forme d'activisme intersectionnel. Ses projets examinent les corps, les relations corporelles et le désir, et remettent en question les normes sociales et les rapports de force dans les domaines de la sexualité, des droits de l'homme et des droits des animaux.

Dans le cadre de sa performance interactive « Full Service » (2014), Hellmann a effectué des centaines de services dans le monde entier contre une rémunération correspondante. Sa performance solo « Traumboy » (2015) sur le travail sexuel masculin a été sélectionnée pour la Sélection Suisse en Avignon et pour la Swiss Selection Edinburgh. En 2019, elle a créé avec Anne Welenc son pendant féminin « Traumgirl » - la troisième production sur le thème du travail du sexe, dont la première a eu lieu en août 2019 au Festival Fringe d'Edinburgh.

Depuis 2017, Hellmann s'intéresse de plus en plus aux relations entre les animaux et les humains dans ses travaux. Pour sa performance musico-théâtrale « Requiem for a piece of meat » (2017), il a été récompensé par le June Johnson Dance Prize et invité aux Swiss Dance Days 2019. Avec son alter ego « Soya the Cow » - une drag-wax sex-positive, féministe et végétalienne - il a créé le one-cow-show « Dear Human Animals » (2020), sorti l'album de musique « Purple Grass » (2021) et plusieurs vidéos musicales. En 2022, Hellmann a voyagé à travers les États-Unis en tant que Soya the Cow - avec l'exposition solo « Planet Moo », des performances et de l'activisme. En 2023, Hellmann a été Artiste Associé des Rencontres théâtrales suisses et y a présenté la promenade artistique « Try Walking in My Hooves », avec laquelle il s'est déjà produit à Amsterdam, Newcastle, Paris, Genève, Zurich, San Francisco, Hong Kong et dans de nombreuses autres villes. En tant que Soya the (House) Cow, Hellmann est lié par une étroite collaboration avec le Tanzhaus Zürich.

Outre ces propres travaux, Hellmann a créé d'autres pièces dans le cadre de collaborations artistiques changeantes - « Nach Lampedusa - Wandererfantasien » (avec Ursina Greuel & Samuel Fried/2014) sur la situation des réfugiés en Suisse, et la performance « All In » (avec Layton Lachman & Anne Welenc/2019) sur les relations amoureuses triadiques.

De 2018 à 2021, Hellmann a été curateur des arts de la scène pour le festival interdisciplinaire Genre & Sexualités LA FÊTE DU SLIP à Lausanne.

Le site de l'artiste

L'ÉDITO de cette 3ème édition du festival :

" Le festival TRANSFORM! – festival des créations queer contemporaines – revient pour sa 3ème édition avec un esprit toujours plus festif, contemporain, nomade et militant. Après la Villa Alliv en novembre 2015, la Déviation en avril 2017, rendez-vous du 4 au 12 septembre dans 3 lieux de Marseille : Vidéodrome2, KLAP Maison pour la danse, Montevideo centre d’art. Cette année encore la programmation de TRANSFORM! dit le dynamisme, les combats, les luttes et les engagements sociétaux du collectif IDEM en montrant la vitalité des cultures minorisées et invisibilisées face aux discriminations raciales, culturelles, de genres et d’orientation sexuelles, dont elles sont victimes.

Être pédé, gouine, trans, intersexe, c’est être dans la minorité estimée à plus de 10% de la population.
Être racisé.e c’est être dans la minorité estimée à plus de 30% de la population.
Être femme
c’est être dans la majorité qu’on minorise.

Penser une programmation de création queer contemporaine avec ces éléments comme socle de réflexion, c’est penser TRANSFORM! en termes de déconstruction et de décolonisation. Déconstruction de nos structures de pensées, en les questionnant sur leurs fondements misogynes, LGBTphobes, coloniaux et esclavagistes. Décolonialisation des corps, des genres, des mémoires, des imaginaires, des arts et de la culture, en repensant nos rapports au pouvoir et aux privilèges qu’ils donnent afin de combattre toutes les formes de domination et d’invisibilisation. Ainsi, cette année encore, TRANSFORM! montre la pluralité de ce qui nous fait, de ce qui nous constitue : nos sexualités, nos corps, nos désirs, nos identités plurielles, nos cultures multiples.
Bon festival à toutes et à tous,

Le collectif IDEM "

musique/son
fête

Artiste emblématique de la communauté underground palestinienne, SAMA’ est la première DJ à avoir importé le mouvement Techno à Ramallah.
Pianiste depuis son jeune âge, elle a commencé à mixer en 2006 pour des soirées organisées autour de Ramallah, avant de commencer à produire sa propre musique en 2010.
Son son : une techno percutante, à la fois sèche et musicale, le tout avec un twist tout à fait personnel. SAMA’ a mixé dans plusieurs événements au Moyen Orient (Caire, Amman, Ramallah, Haïfa) et en Europe (Londres, Wales, Paris, Anvers, Bordeaux, Marseille, Rome).
En mai 2016, SAMA’ s’est associée à Eka3, en Égypte, première plateforme régionale vouée à la promotion, à la production, à la distribution et au booking des artistes indépendants du monde
arabe. Avec eux, elle a fondé la première agence d’édition en musique de la région, AWYAV.

Sama' Abdulhadi

Artiste emblématique de la scène underground palestinienne, SAMA' est l'une des premières DJ et productrices de musique électronique à émerger de la région. Son son, une techno originale et percutante, à la fois sèche et musicale, s'est rapidement imposé en Europe et au-delà.

SAMA, qui signifie « ciel » en arabe, a commencé à mixer en 2006 dans des soirées autour de Ramallah, en Palestine. Plusieurs années plus tard, elle a commencé à produire sa propre musique et à développer son intérêt pour la synthèse en 2010, en se concentrant sur la techno, la house et d'autres sous-genres plus profonds de la musique électronique.

L'artiste a obtenu une licence en ingénierie audio et production musicale au Royaume-Uni, puis s'est installée au Caire où elle a travaillé comme conceptrice sonore pour le cinéma, avant de devenir productrice de musique puis instructrice. SAMA' dirige aujourd'hui sa propre société d'ingénierie audio et de conception sonore, travaillant sur des films et des documentaires au Moyen-Orient. En 2017, elle a été sélectionnée comme lauréate par l'Institut français, et a participé pendant cette période à une résidence à la Cité internationale des arts à Paris. SAMA' dirige également une maison d'édition appelée Awyav, qui représente des artistes indépendants du monde arabe.

Fin 2018, la performance de SAMA à Boiler Room et le documentaire associé sur la scène en Palestine sont devenus viraux et de plus en plus de gens constatent que la musique n'a pas de frontières. SAMA' a récemment figuré dans la liste Alternative Power 100 de SheSaid.So, et joue un set très médiatisé à Dalt Vila, site du patrimoine mondial d'Ibiza, pour le Sommet international de la musique à la fin du mois de mai. Elle travaille actuellement sur un album studio.

Écouter sur Soundcloud

L'ÉDITO de cette 3ème édition du festival :

" Le festival TRANSFORM! – festival des créations queer contemporaines – revient pour sa 3ème édition avec un esprit toujours plus festif, contemporain, nomade et militant. Après la Villa Alliv en novembre 2015, la Déviation en avril 2017, rendez-vous du 4 au 12 septembre dans 3 lieux de Marseille : Vidéodrome2, KLAP Maison pour la danse, Montevideo centre d’art. Cette année encore la programmation de TRANSFORM! dit le dynamisme, les combats, les luttes et les engagements sociétaux du collectif IDEM en montrant la vitalité des cultures minorisées et invisibilisées face aux discriminations raciales, culturelles, de genres et d’orientation sexuelles, dont elles sont victimes.

Être pédé, gouine, trans, intersexe, c’est être dans la minorité estimée à plus de 10% de la population.
Être racisé.e c’est être dans la minorité estimée à plus de 30% de la population.
Être femme
c’est être dans la majorité qu’on minorise.

Penser une programmation de création queer contemporaine avec ces éléments comme socle de réflexion, c’est penser TRANSFORM! en termes de déconstruction et de décolonisation. Déconstruction de nos structures de pensées, en les questionnant sur leurs fondements misogynes, LGBTphobes, coloniaux et esclavagistes. Décolonialisation des corps, des genres, des mémoires, des imaginaires, des arts et de la culture, en repensant nos rapports au pouvoir et aux privilèges qu’ils donnent afin de combattre toutes les formes de domination et d’invisibilisation. Ainsi, cette année encore, TRANSFORM! montre la pluralité de ce qui nous fait, de ce qui nous constitue : nos sexualités, nos corps, nos désirs, nos identités plurielles, nos cultures multiples.
Bon festival à toutes et à tous,

Le collectif IDEM "

atelier/ workshop
arts visuels
littérature
poésie

On vous invite à fabriquer le fanzine TRANSFORM! avec le collectif Nicole Crême et l’association Mémoires des sexualités.
Collage , tamponnage, peinture, revendications, mémoires, luttes et expression transgénérationnelle des revendications LGBTQI.

Sur la question des archives et des mémoires des minorités sexuelles, l’association Mémoires des sexualités a rassemblé une documentation importante sur une période de 40 ans d’archives, de fanzines, de périodiques, d’affiches, d’audios, de vidéos, de livres etc issus des communautés des communautés LGBTQI+ à Marseille et ailleurs.

NICOLE CRÊME SOLAIRE
Nicole brille depuis des lustres par son absence, autant que par l’empreinte rayonnante qu’elle a laissée sur son passage.
NICOLE CRÊME FRESQUE
Une équipe de fervents à la mémoire vive s’emploie à retracer ses pas en imprimant tout ce qui bouge: les corps, les papiers, les murs.
NICOLE NIGHT FEVER
Le grand corps productif de Nicole bouge aussi, en déployant ses membres et ses ateliers jusque dans vos salons (d’édition).
NICOLE NI SOUMISE
Guidés par un factotum à roulettes, ces interventions sortent parfois, souvent, du cadre de la ligne de la frontière du réel indiqué de nos vies mornes.

L’atelier sera assuré par Laura Laguillaumie
Laura Laguillaumie dessine, peint et grave des gommes. Elle fraye avec la sérigraphie et le milieu de l’édition indépendante (Nicole Crême). On a pu voir son travail à l’Artothèque de Miramas, au Frac Paca et plus récemment à l’espace GT à Marseille.

Le site de Mémoire des sexualités

L'ÉDITO de cette 3ème édition du festival :

" Le festival TRANSFORM! – festival des créations queer contemporaines – revient pour sa 3ème édition avec un esprit toujours plus festif, contemporain, nomade et militant. Après la Villa Alliv en novembre 2015, la Déviation en avril 2017, rendez-vous du 4 au 12 septembre dans 3 lieux de Marseille : Vidéodrome2, KLAP Maison pour la danse, Montevideo centre d’art. Cette année encore la programmation de TRANSFORM! dit le dynamisme, les combats, les luttes et les engagements sociétaux du collectif IDEM en montrant la vitalité des cultures minorisées et invisibilisées face aux discriminations raciales, culturelles, de genres et d’orientation sexuelles, dont elles sont victimes.

Être pédé, gouine, trans, intersexe, c’est être dans la minorité estimée à plus de 10% de la population.
Être racisé.e c’est être dans la minorité estimée à plus de 30% de la population.
Être femme
c’est être dans la majorité qu’on minorise.

Penser une programmation de création queer contemporaine avec ces éléments comme socle de réflexion, c’est penser TRANSFORM! en termes de déconstruction et de décolonisation. Déconstruction de nos structures de pensées, en les questionnant sur leurs fondements misogynes, LGBTphobes, coloniaux et esclavagistes. Décolonialisation des corps, des genres, des mémoires, des imaginaires, des arts et de la culture, en repensant nos rapports au pouvoir et aux privilèges qu’ils donnent afin de combattre toutes les formes de domination et d’invisibilisation. Ainsi, cette année encore, TRANSFORM! montre la pluralité de ce qui nous fait, de ce qui nous constitue : nos sexualités, nos corps, nos désirs, nos identités plurielles, nos cultures multiples.
Bon festival à toutes et à tous,

Le collectif IDEM "

performance
atelier/ workshop
arts visuels

Performance participative

Cette performance est inspirée d’un dicton local de la région où Ahmed a grandi. Utilisé pour exprimer la déception et la frustration que peuvent susciter les proches. En substance, on pourrait le traduire par : « Parfois, il est préférable d’avoir des proches en argile qu’en chair. »
Ahmed réutilise donc cette métaphore pour exprimer son expérience alors qu’il annonçait son coming out en tant que gay.
Pour TRANSFORM!, Umar convie le public à se salir les doigts lors d’un atelier de création de personnages en argile. À l’issue de cet atelier, l’artiste donnera vie à ces personnages qui constituent l’élément phare de sa performance.

Durée : atelier, 45 min
19h30 Performance, 45 min.

Ahmed Umar (né en 1988 au Soudan) est un artiste pluridisciplinaire qui vit et travaille à Oslo. Il a obtenu son diplôme de maîtrise en arts médiatiques et matériels à l'Académie nationale des arts d'Oslo en 2016. À travers son art, Umar a également été une figure de proue importante pour les personnes queer d'origine musulmane en Norvège et au Soudan.

L'ÉDITO de cette 3ème édition du festival :

" Le festival TRANSFORM! – festival des créations queer contemporaines – revient pour sa 3ème édition avec un esprit toujours plus festif, contemporain, nomade et militant. Après la Villa Alliv en novembre 2015, la Déviation en avril 2017, rendez-vous du 4 au 12 septembre dans 3 lieux de Marseille : Vidéodrome2, KLAP Maison pour la danse, Montevideo centre d’art. Cette année encore la programmation de TRANSFORM! dit le dynamisme, les combats, les luttes et les engagements sociétaux du collectif IDEM en montrant la vitalité des cultures minorisées et invisibilisées face aux discriminations raciales, culturelles, de genres et d’orientation sexuelles, dont elles sont victimes.

Être pédé, gouine, trans, intersexe, c’est être dans la minorité estimée à plus de 10% de la population.
Être racisé.e c’est être dans la minorité estimée à plus de 30% de la population.
Être femme
c’est être dans la majorité qu’on minorise.

Penser une programmation de création queer contemporaine avec ces éléments comme socle de réflexion, c’est penser TRANSFORM! en termes de déconstruction et de décolonisation. Déconstruction de nos structures de pensées, en les questionnant sur leurs fondements misogynes, LGBTphobes, coloniaux et esclavagistes. Décolonialisation des corps, des genres, des mémoires, des imaginaires, des arts et de la culture, en repensant nos rapports au pouvoir et aux privilèges qu’ils donnent afin de combattre toutes les formes de domination et d’invisibilisation. Ainsi, cette année encore, TRANSFORM! montre la pluralité de ce qui nous fait, de ce qui nous constitue : nos sexualités, nos corps, nos désirs, nos identités plurielles, nos cultures multiples.
Bon festival à toutes et à tous,

Le collectif IDEM "

performance
danse

« I’m a bruja» signifie « je suis une sorcière ». Les « Brujas » sont des sorcières, femmes Afro-Caribéennes qui mixent des rituels Yoruba et de la Caraïbe. La « bruja » est aussi la sorcière au sens où elle invente, rassemble les différents champs artistiques et de recherche, intrigue, prend soin d’elle-même, des autres, de l’espace et de la nature.
Le clip “Brujas” de Princess Nokia est la source d’inspiration principale du solo d’Annabel “I’m a bruja”.
Ainsi la performeuse, seule sur le plateau, revêt une à une cinq peaux de “brujas” correspondant à cinq tableaux successifs qui s’entremêlent à mesure de la performance.

*bruja ?
i’m a bruja means : i’m a female witch, a woman who has embraced her intuition, reconnecting with her indigenous ancestors spiritually, healing and empowering herself and others through intersectional feminism, decolonization and community.

Annabel Guérédrat est chorégraphe et performeuse.
Durée : 50 min.

Pour en savoir +

L'ÉDITO de cette 3ème édition du festival :

" Le festival TRANSFORM! – festival des créations queer contemporaines – revient pour sa 3ème édition avec un esprit toujours plus festif, contemporain, nomade et militant. Après la Villa Alliv en novembre 2015, la Déviation en avril 2017, rendez-vous du 4 au 12 septembre dans 3 lieux de Marseille : Vidéodrome2, KLAP Maison pour la danse, Montevideo centre d’art. Cette année encore la programmation de TRANSFORM! dit le dynamisme, les combats, les luttes et les engagements sociétaux du collectif IDEM en montrant la vitalité des cultures minorisées et invisibilisées face aux discriminations raciales, culturelles, de genres et d’orientation sexuelles, dont elles sont victimes.

Être pédé, gouine, trans, intersexe, c’est être dans la minorité estimée à plus de 10% de la population.
Être racisé.e c’est être dans la minorité estimée à plus de 30% de la population.
Être femme
c’est être dans la majorité qu’on minorise.

Penser une programmation de création queer contemporaine avec ces éléments comme socle de réflexion, c’est penser TRANSFORM! en termes de déconstruction et de décolonisation. Déconstruction de nos structures de pensées, en les questionnant sur leurs fondements misogynes, LGBTphobes, coloniaux et esclavagistes. Décolonialisation des corps, des genres, des mémoires, des imaginaires, des arts et de la culture, en repensant nos rapports au pouvoir et aux privilèges qu’ils donnent afin de combattre toutes les formes de domination et d’invisibilisation. Ainsi, cette année encore, TRANSFORM! montre la pluralité de ce qui nous fait, de ce qui nous constitue : nos sexualités, nos corps, nos désirs, nos identités plurielles, nos cultures multiples.
Bon festival à toutes et à tous,

Le collectif IDEM "

performance
littérature

Lecture performée

Kapwani Kiwanga propose une lecture performée du chapitre II de sa trilogie “Afrogalactica”, dans laquelle elle incarne une anthropologue en 2100 vivant aux États-Unis d’Afrique.

“The Black Star Chronicles”, en se référant à l’Afrofuturisme, traite de la fabrication du genre et de la race.
En écho à des récits féministes, post-genres et queer, la performance explore les thèmes de l’innovation technologique, de la reproduction et du mélange racial. Kapwani Kiwanga met en relation la figure du cyborg, autant comme modèle biologique et métaphorique, avec les expériences africaines et diasporiques.

Kapwani Kiwanga est une artiste franco-canadienne, née en 1978 au Canada et installée à Paris depuis 2005 où elle travaille. Kiwanga a étudié l’anthropologie et la religion comparée à l’Université McGill de Montréal. Elle a également suivi un cursus en art à l’école des Beaux-Arts de Paris et a par la suite étudié à Le Fresnoy.

Le travail de Kapwani Kiwanga, recoupe installations vidéo, son et performances, le tout mêlé aux sciences sociales, aux thématiques postcoloniales, de genre et queer, mais encore à l’Afro-futurisme.

Elle est représentée par la galerie Jérôme Poggi en France et la galerie Tanja Wagner à Berlin et a récemment reçu le prix Frieze Artist Award pour sa proposition Shady.

Voir le reportage RFI sur elle et son travail ici.

Son site ici : https://www.kapwanikiwanga.org/

L'ÉDITO de cette 3ème édition du festival :

" Le festival TRANSFORM! – festival des créations queer contemporaines – revient pour sa 3ème édition avec un esprit toujours plus festif, contemporain, nomade et militant. Après la Villa Alliv en novembre 2015, la Déviation en avril 2017, rendez-vous du 4 au 12 septembre dans 3 lieux de Marseille : Vidéodrome2, KLAP Maison pour la danse, Montevideo centre d’art. Cette année encore la programmation de TRANSFORM! dit le dynamisme, les combats, les luttes et les engagements sociétaux du collectif IDEM en montrant la vitalité des cultures minorisées et invisibilisées face aux discriminations raciales, culturelles, de genres et d’orientation sexuelles, dont elles sont victimes.

Être pédé, gouine, trans, intersexe, c’est être dans la minorité estimée à plus de 10% de la population.
Être racisé.e c’est être dans la minorité estimée à plus de 30% de la population.
Être femme
c’est être dans la majorité qu’on minorise.

Penser une programmation de création queer contemporaine avec ces éléments comme socle de réflexion, c’est penser TRANSFORM! en termes de déconstruction et de décolonisation. Déconstruction de nos structures de pensées, en les questionnant sur leurs fondements misogynes, LGBTphobes, coloniaux et esclavagistes. Décolonialisation des corps, des genres, des mémoires, des imaginaires, des arts et de la culture, en repensant nos rapports au pouvoir et aux privilèges qu’ils donnent afin de combattre toutes les formes de domination et d’invisibilisation. Ainsi, cette année encore, TRANSFORM! montre la pluralité de ce qui nous fait, de ce qui nous constitue : nos sexualités, nos corps, nos désirs, nos identités plurielles, nos cultures multiples.
Bon festival à toutes et à tous,

Le collectif IDEM "

musique/son
fête

Figure emblématique de la nuit underground, créature énigmatique et hypnotique The Man Inside Corrine est un véritable joyau diffusant du rêve, de l’étrange dans toute sa singularité et de la joie à profusion.

De Moscou à Milan, en passant par les meilleures soirées parisiennes, The Man Inside Corrine émoustille l’inconscient collectif et laisse sur chacun de ses passages un arc en ciel dans les cœurs.

L'ÉDITO de cette 3ème édition du festival :

" Le festival TRANSFORM! – festival des créations queer contemporaines – revient pour sa 3ème édition avec un esprit toujours plus festif, contemporain, nomade et militant. Après la Villa Alliv en novembre 2015, la Déviation en avril 2017, rendez-vous du 4 au 12 septembre dans 3 lieux de Marseille : Vidéodrome2, KLAP Maison pour la danse, Montevideo centre d’art. Cette année encore la programmation de TRANSFORM! dit le dynamisme, les combats, les luttes et les engagements sociétaux du collectif IDEM en montrant la vitalité des cultures minorisées et invisibilisées face aux discriminations raciales, culturelles, de genres et d’orientation sexuelles, dont elles sont victimes.

Être pédé, gouine, trans, intersexe, c’est être dans la minorité estimée à plus de 10% de la population.
Être racisé.e c’est être dans la minorité estimée à plus de 30% de la population.
Être femme
c’est être dans la majorité qu’on minorise.

Penser une programmation de création queer contemporaine avec ces éléments comme socle de réflexion, c’est penser TRANSFORM! en termes de déconstruction et de décolonisation. Déconstruction de nos structures de pensées, en les questionnant sur leurs fondements misogynes, LGBTphobes, coloniaux et esclavagistes. Décolonialisation des corps, des genres, des mémoires, des imaginaires, des arts et de la culture, en repensant nos rapports au pouvoir et aux privilèges qu’ils donnent afin de combattre toutes les formes de domination et d’invisibilisation. Ainsi, cette année encore, TRANSFORM! montre la pluralité de ce qui nous fait, de ce qui nous constitue : nos sexualités, nos corps, nos désirs, nos identités plurielles, nos cultures multiples.
Bon festival à toutes et à tous,

Le collectif IDEM "